16 janvier : arrivée en Martinique !

16 janvier : arrivée en Martinique !

Loisirs

Après une petite journée de navigation au près avec 20 nœuds de vent, nous voici en Martinique ! La baie du Marin se voit de très loin avec sa forêt de mâts ! Elle abrite en effet des centaines de bateaux au mouillage, sur bouée ou à l’ancre, sans compter les places au port. L’entrée du Cul de sac du Marin est un véritable labyrinthe : nous suivons les bouées vertes et rouges (attention, ici les couleurs sont inversées par rapport à la France !) pour atteindre le port de plaisance. Ça nous fait tout drôle d’entendre parler français, avec le petit accent créole en prime ! On goûte à quelques plaisirs simples, oubliés depuis plusieurs mois : un croissant et une baguette de pain frais au petit déjeuner ! Nous pouvons enfin tirer les rois, il y a même des galettes à la frangipane ! Stéphane et Sébastien sont en plein dans la mécanique : vidange des moteurs au programme. Pour Yamna et moi, CNED, lessive, courses et boutiques avec les filles… Dès que tout sera fini, nous irons au mouillage.

Le rocher du Diamant
Le fameux rocher du Diamant, symbole de la Martinique.
Le Marin - Martinique
La plage du Club Med à l’entrée du Cul de sac du Marin.
Le Marin - Martinique
Coucher de soleil au Marin.
14 et 15 janvier à Pigeon Island

14 et 15 janvier à Pigeon Island

Loisirs

Mathilde et Eléa sont invitées sur le catamaran de Stéphane et Yamna, Sir Henri IV, pour aller de Marigot Bay à Rodney Bay au Nord de Sainte-Lucie. Elles sont ravies ! Comme on peut s’en douter, Eléa n’a pas été malade (les catamarans sont plus stables que les monocoques) ! Nous jetons l’ancre au nord de Rodney Bay, en face de Pigeon Island où s’élève le Fort Rodney, construit en 1778. A terre, un sentier permet d’atteindre les ruines du Fort. Maëlle se plaît à crapahuter dans les rochers, elle adore l’escalade ! Eléa et Sarah s’improvisent chanteuses de rock avec une gousse de flamboyant transformée en guitare (et un peu plus tard, en bateau). Depuis Sainte-Lucie, la Martinique nous tend les bras : nous sommes à 25 milles d’un petit bout de France !

Sir Henri IV
Les filles sur Sir Henri IV, pas peu fières !
Pigeon Island
Arc-en-ciel matinal au-dessus du Fort Rodney.
Pigeon Island
Pêche traditionnelle à l’épervier.
Pigeon Island
Un vendeur de fruits sur son embarcation haute en couleurs !
Pigeon Island
Les bateaux au mouillage.
Pigeon Island
Yellow Poui
Pigeon Island
Côté atlantique, les vagues déferlent.
Pigeon Island
Arrivés en haut du Fort !
Pigeon Island
L’isthme de Pigeon Island.
Pigeon Island
Encore des canons ! Pigeon Island, à seulement 40 kilomètres de la Martinique, était un poste d’observation et de défense de premier choix pour les britanniques au 18e siècle.
Pigeon Island
Trois mâts, quatre mâts, cinq mâts… qui dit mieux ?
Pigeon Island
C’est pas la mer à boire, pas vrai ?
Pigeon Island
Bar restaurant « Jambe de bois » où nous prenons un verre avant de rentrer au bateau.
13 et 14 janvier à Sainte-Lucie

13 et 14 janvier à Sainte-Lucie

Loisirs

Adieu Saint-Vincent, bonjour Sainte-Lucie ! Nous faisons halte à Marigot Bay, un mouillage très réputé, à juste titre car l’endroit est charmant : niché entre la mangrove et une langue se sable où se déploient de grands cocotiers. En plus, le mouillage sur une bouée nous donne un droit d’accès à la piscine d’un luxueux hôtel. Les filles sont au paradis ! Nous passons un super moment avec les équipages de Sir Henri IV et Peer Gynt (je vous invite au passage à suivre le blog d’Isabelle).

Marigot Bay
L’entrée de Marigot Bay
Marigot Bay
La Marina
Marigot Bay
Les cocotiers vont bientôt se jeter à l’eau !
Marigot Bay
Maëlle se prend pour Tarzan !
Marigot Bay
L’hôtel avec vue sur la baie.
Marigot Bay
Une des piscines à débordement de l’hôtel.
Marigot Bay
Si un jour j’ai une maison, je veux la même déco !
Marigot Bay
Un oiseau picorant une pomme d’amour.
Marigot Bay
Fleur d’hibiscus.
11 et 12 janvier à Cumberland Bay

11 et 12 janvier à Cumberland Bay

Loisirs

Une courte navigation au moteur le long de la côte sous le vent de St-Vincent nous mène à Cumberland Bay (juste après Wallilabou Bay où nous étions en décembre). Le mouillage se fait sur ancre, doublé d’un bout’ à l’arrière du bateau, attaché à un cocotier à terre. Ainsi le bateau reste sur son axe. Comme à Wallilabou, à notre arrivée nous sommes assaillis par un « comité d’accueil » : des barques qui viennent proposer fruits, colliers, ou poisson… Le lendemain matin nous allons en taxi voir les Trinity Falls, de magnifiques chutes d’eau. Sur la route, nous traversons des villages aux noms français évocateurs : Petit Bordel, Châteaubelair… du temps où St-Vincent était une colonie française. Nous faisons une halte à Châteaubelair pour nous mettre en règle avec la douane, la fameuse clearance. La ballade aux chutes d’eau est très agréable, au cœur d’une végétation luxuriante. La douche sous la cascade est vivifiante ! Saint-Vincent est vraiment un diamant brut, où la nature prend le pas sur l’homme.

Saint-Vincent
La côte ouest de Saint-Vincent avec ses cocoteraies et ses abris naturels.
Saint-Vincent
Le mouillage de Cumberland Bay.
Saint-Vincent
Village de Saint-Vincent aux maisons colorées.
Saint-Vincent
Très ancienne maison à Châteaubelair, datant de l’occupation française.
Saint-Vincent
Filets de pêche à Châteaubelair.
Saint-Vincent
Les fruits de l’arbre à pain, importé de Polynésie par le commandant du Bounty pour nourrir les esclaves à l’époque coloniale.
Saint-Vincent
Végétation luxuriante.
Saint-Vincent
Les Trinity Falls.
Saint-Vincent
Le pont suspendu : Indiana Jones n’a qu’à bien se tenir !
Saint-Vincent
Plage de Châteaubelair.
9 et 10 janvier à Saint-Vincent

9 et 10 janvier à Saint-Vincent

Loisirs

Nous sommes actuellement en Martinique au port du Marin. Retour en arrière sur nos récentes escales…

L’île de Saint-Vincent a mauvaise réputation auprès des plaisanciers, pourtant elle mérite largement de s’y arrêter. Stéphane et Yamna de Sir Henri IV la connaissent depuis longtemps et nous font partager leurs plus beaux coins. Nous mouillons devant Young Island, un îlot situé à 200 m de la côte sud de St-Vincent. Ancienne garnison des soldats anglais, puis centre de quarantaine, cette île abrite désormais un complexe hôtelier luxueux. Nous allons en annexe à l’îlet Duvernette, véritable dôme de verdure. Une série d’escaliers nous mène jusqu’à une plate-forme parsemée de canons très bien conservés, témoignage des combats entre colons Anglais et Français qui se sont longtemps disputé les terres de l’île pour y cultiver le sucre. La vue est spectaculaire. Le lendemain matin, nous partons en mini-bus à Kingstown, la capitale de St-Vincent. Le trajet en bus est épique : tassés comme des sardines, musique à fond, et vitesse maximale ; mieux vaut se tenir dans les virages ! A Kingstown, le marché de fruits et légumes est bien achalandé et nous y faisons nos provisions. La ville possède de beaux édifices religieux, comme l’église anglicane St-George’s de style géorgien (1820), et la cathédrale catholique St-Mary d’inspiration romane (1823), revisitée depuis par les styles gothique et baroque. Nous visitons le jardin botanique, le plus ancien des Antilles, fondé en 1765. Arbre du voyageur, banian, muscadier, arbre à cannelle, cacaoyer, oreilles d’éléphants, hibiscus, alamanda : on y trouve une belle représentation de la flore des Caraïbes. Nous avons découvert un arbre aux fleurs extraordinaires : le cannonball tree. La culture Rastafari prédomine sur l’île. Dans les rues, une odeur de ganja flotte dans l’air et les échoppes  aux couleurs rasta – jaune, rouge, vert et noir – affichent des messages de paix et d’amour.

Saint-Vincent
Superbe vue depuis Duvernette Island.
Saint-Vincent
Un vieux canon de Duvernette Island.
Saint-Vincent
Kingstown, capitale bien animée.
Saint-Vincent
Une vendeuse très chic au marché.
Saint-Vincent
Au jardin botanique.
Saint-Vincent
Eléa s’amuse avec le cœur des fleurs de « cannonball tree ».
Saint-Vincent
Fleur de « cannonball tree ».

Saint-Vincent

Saint-Vincent
A l’intérieur de St-Mary.
Saint-Vincent
Photo volée par la fenêtre ouverte à l’école St-Mary.
Saint-Vincent
Kuumba Rastaranch, repaire des rastas.
Saint-Vincent
Un Rasta.
Du 5 au 8 janvier – Moustique, l’île des stars

Du 5 au 8 janvier – Moustique, l’île des stars

Loisirs

Nous passons trois jours à jouer les people sur l’île privée des millionnaires, enclave de la jet-set internationale. L’île était carrément fermée durant les fêtes ! Nous avons le droit, pour 75 dollars tout de même, d’avoir une bouée au mouillage de Britania Bay. Il faut bien avouer que les célébrités ont parfois bon goût, l’île est magnifique, parfaitement entretenue et bien préservée. Peut-être juste un peu trop proprette et aseptisée à mon goût : pelouse parfaitement tondue et quelques boutiques de luxe qui semblent tout droit sorties d’Eurodisney ! Même les cocotiers ont l’air d’être taillés ! L’île est sous haute surveillance car y résident actuellement Mick Jagger et Bryan Adams. Nous espérons qu’ils viennent jouer un soir au célèbre Basil’s Bar en face du bateau, mais non, dommage… Une visite de l’île en taxi nous permet de passer devant de somptueuses villas, bien camouflées dans la végétation, appartenant à Ferrari, Lacoste, Madonna, Tommy Hilfiger… David Bowie avait également une propriété d’exception à Moustique, estimée à 20 millions de dollars. Beaucoup de villas sont à louer : comptez 20 000 dollars la semaine ; ça laisse rêveur ! Nous avons interdiction de prendre des photos sur certaines plages privées… ici on ne rigole pas avec les paparazzis ! A côté de cela, les pêcheurs sont adorables et nous ramènent des langoustes king size. Nous avons fait de véritables festins avec l’équipage de Sir Henri IV. Au programme : un peu de CNED, promenades sur l’île, recherche de coquillages, baignade, pique-nique sur la plage et grimpette sur les cocotiers…

Moustique
Le mouillage de Britania Bay – Vous pouvez voir Maskali derrière le ferry orange.
Moustique
Maskali et Sir Henri IV au mouillage.
Moustique
Le célèbre Basil’s Bar, où célébrités et anonymes peuvent prendre un verre.
Moustique
Boutiques coquettes… ou kitch, selon les goûts !
Moustique
Un antiquaire.
Moustique
Villas dissimulées dans la végétation.
Moustique
Les chercheuses de coquillages à l’oeuvre.
Moustique
Joli spécimen.
Moustique
Le coin des pêcheurs.
Moustique
Il en faut des bras pour mettre une embarcation à l’eau !
Moustique
Pas de répit : il faut ouvrir l’oeil pour dénicher la perle rare !
Moustique
Un pique-nique au top !
Moustique
Eléa à l’assaut des cocotiers !
Réveillon aux Tobago Cays

Réveillon aux Tobago Cays

Loisirs

J’en rêve depuis des semaines : en parcourant les guides nautiques, les photos des Tobago Cays sont plus alléchantes les unes que les autres ! Et je ne suis pas déçue : nous sommes vraiment dans un paysage de carte postale, au milieu d’îlots perdus entre les coraux. Je ne me lasse pas de contempler la mer qui se décline du vert d’eau au bleu outremer, en passant par des turquoises à se pâmer. Des tortues nagent paisiblement autour du bateau. Les fonds de sable blanc sont peuplés d’énormes étoiles de mer orange et nous avons même pu observer une raie manta et une raie pastenague en nageant près du bateau. Equipés de nos masques, tubas et palmes, nous allons en annexe près du reef, une grande barrière de corail, pour admirer les fonds sous-marins. Un monde merveilleux s’offre à nous : coraux, gorgones, langouste, poissons multicolores… Je pourrais rester là des heures  ! Le 31 décembre au soir, un boy boat vient nous chercher sur son embarcation pour nous emmener sur la plage déguster une langouste… Pas de doute, on finit l’année en beauté !

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27 décembre – Un aperçu de Bequia

27 décembre – Un aperçu de Bequia

Loisirs

Cette île est vraiment charmante avec ses maisons toutes colorées, ses échoppes peintes et ses jolies plages. Nous avons déjeuné dans une plantation avec Kirikou et fait une visite guidée avec dégustation de jus de coco, de canne à sucre, de fruits exotiques… Très instructif ! Nous allons maintenant poursuivre notre tour des Grenadines en allant vers les Tobago Cays.

Bequia
Le whaleboner bar, qui nous rappelle la pêche traditionnelle à la baleine à Bequia
Bequia
Le pizza hut local !
Une copine de jeux
Une copine de jeux
Bequia
Dégustation de canne à sucre
Bequia
Comment naissent les bananes…
Bequia
Une chenille impressionnante !
Bequia
Le mouillage de Bequia
Bequia
Notre grimpeuse
Joyeux anniversaire Mathilde !

Joyeux anniversaire Mathilde !

Loisirs

Pour ses 13 ans, Mathilde avait envie d’un brunch avec pancakes et œuf au bacon. Elle a été gâtée : des bijoux fantaisie, un cadre Coca-Cola pour décorer sa nouvelle chambre et de l’argent. Nous lui avons offert un baptême de plongée. Le centre de plongée se trouve juste en face du bateau, c’est pratique ! Elle a fait son baptême avec Olympe, sa copine de Tuva’u. Sébastien en a profité pour faire une plongée en même temps qu’elles ; j’étais plus rassurée et il pouvait ainsi traduire les explications de la monitrice. Après quelques exercices d’entraînement avec le matériel, nous avons pris le bateau pour aller sur un reef. Ils ont plongé pendant trois quart d’heure, génial pour un baptême ! Pendant ce temps, Eléa, Maëlle et moi avons fait du snorkelling. Ils ont bien sûr vu des merveilles, Sébastien a fait un film avec la GoPro, vous verrez ça au retour. Mathilde était enchantée !anniv13ans_2 anniv13ans_3 anniv13ans_4 anniv13ans_5 anniv13ans_6 anniv13ans_7 anniv13ans_8 anniv13ans_9

Jolies tresses

Jolies tresses

Loisirs

Cela fait plusieurs mois que Mathilde rêvait d’avoir des tresses africaines, c’est chose faite ! Avec ses doigts habiles, la jeune femme lui a fait une super coiffure ! Presqu’une heure de travail tout de même… ça lui va super bien, vous ne trouvez pas ?coiffure_02 coiffure_03