Spanish Wells, notre dernière escale

Spanish Wells, notre dernière escale

Loisirs, Préparatifs

Depuis l’arrivée de ma sœur Muriel à Nassau, nous attendons la bonne fenêtre météo pour partir. Nous avons fait un avitaillement complet, recousu les voiles et même nettoyé la coque, bref, nous sommes fins prêts ! Nous sommes actuellement au mouillage à Spanish Wells, un petit village et port de pêche situé sur un îlot à côté d’Eleuthera aux Bahamas. Cette dernière escale est très agréable, mais j’ai le cœur serré de penser que demain nous quittons ces eaux chaudes et turquoises… Fini la quiétude des lagons, c’est l’Atlantique qui nous attend ! Pour finir en apothéose, quatre dauphins sont venus nous saluer sur la plage où nous sommes allés nous baigner cet après-midi, comme un clin d’œil. Bye bye les Bahamas, le moment est venu pour nous de prendre le chemin du retour. Cap à l’est ! Attendez-vous à un silence radio sur le blog pendant 3 semaines à 1 mois… Mon prochain post sera à l’arrivée à Horta aux Açores. Merci à tous pour vos messages sur le blog, vos mails et vos bons souhaits ; ça nous fait chaud au cœur. Nous vous embrassons bien fort.

Séance de couture sur voiles.
Séance de couture sur voiles.
Nettoyage de la coque : Eléa et Muriel ont frotté pour enlever les algues et coquillages... cela nous fera peut-être gagner un demi noeud !
Nettoyage de la coque : Eléa et Muriel ont frotté pour enlever les algues et coquillages… cela nous fera peut-être gagner un demi noeud !
Maëlle et ses poupées.
Maëlle et ses poupées.
Spanich Wells
Un héron à Spanish Wells.
Spanich Wells
A Spanich Wells, les bougainvilliers sont hauts en couleurs !
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Mathilde et Eléa n’en reviennent pas de la décoration devant cette maison !
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Dernier bain au paradis…
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Rencontre inattendue avec des dauphins sur la plage !
D’une escale à l’autre…

D’une escale à l’autre…

Voyage

Ceux d’entre vous qui ont en tête les étapes de voyage que nous avions prévues avant de partir doivent se demander pourquoi nous avons changé de cap… Rappelez-vous, après Saint-Vincent et les Grenadines, nous devions faire les îles du Venezuela, puis traverser la mer des Caraïbes pour atterrir aux îles Vierges britanniques, aller en République dominicaine puis à Cuba… Pourquoi ces changements ? Durant le rallye, Jimmy Cornell nous a dissuadés d’aller vers le Venezuela, trop risqué à cause d’actes de piraterie et d’agressions très fréquents dans cette zone. Du coup, nous avons opté pour le circuit plus « classique » de l’arc antillais. Nous ne regrettons pas ce choix tant nous avons apprécié toutes ces îles et leurs habitants. Le seul regret, c’est de ne pas pouvoir aller à Cuba, faute de temps…

17 au 21 avril : Bleu comme Bahamas

17 au 21 avril : Bleu comme Bahamas

Loisirs, Voile

Aux Bahamas, nous avons parcouru des milles et des milles dans une mer aux variations de bleus incroyables : aigue-marine, turquoise, cyan, céladon… tout un camaïeu qui me ravit ! La particularité aux Bahamas est de naviguer dans des eaux très peu profondes, entre 3 et 5 mètres, et comme le fond est constitué de sable, la mer prend des teintes cristallines. Je pourrais contempler ces couleurs pendant des heures, je les ai dans la peau, dans les yeux, dans le cœur. J’ai si peur d’en oublier les infimes nuances une fois rentrée… A terre, ce sont ces mêmes teintes que l’on retrouve sur les murs des maisons et les enseignes. Aux Exumas nous avons fait plusieurs mouillages, pêché un thon et une dorade coryphène (la 3e !), aperçu des raies et des requins… Notre point d’arrivée est Nassau, la capitale de l’archipel. Changement de décor : on oublie les îlots sauvages, ici on côtoie les yachts et les villas de luxe. Juste en face de la marina, de l’autre côté du pont, c’est Paradise Island, le royaume de la démesure à l’américaine, un autre monde. Nous attendons l’arrivée de ma sœur qui fait la traversée retour avec nous, et préparons le bateau.

Bahamas
George Town
Bahamas
La pose sur le banc aux hippocampes.
Bahamas
Mouillage à Hamburger bay (ne me demandez pas d’où vient ce nom, je l’ignore !)
Bahamas
Belle pêche : notre dorade fait la taille de Maëlle !
Bahamas
Seuls au monde à Compass Cay.
Bahamas
En quête de quelques coquillages…
Bahamas
Sous l’eau, c’est comme ça !
Bahamas
Arrivée à Nassau, avec Paradise Island à droite.
13 au 16 avril : vers les Bahamas

13 au 16 avril : vers les Bahamas

Voile

Les Bahamas, elles se méritent ! Partis le 13 au matin de South Caicos, nous pensions arriver le lendemain matin à Mayaguana après une nuit en mer… Au final nous avons atterri 3 jours plus tard à Hog Cay près de Little Exuma ! Nous avons eu du vent du nord, pas de chance justement lorsqu’on veut remonter à la voile vers le nord : vent et mer dans le nez, nous n’avancions pas ; nous avons donc changé de cap en cours de route. Au fil du temps le vent a forci et la mer s’est agitée, et au milieu de la 2e nuit en mer, le pilote nous a lâchés… Seb et moi avons donc dû barrer sans relâche dans une mer assez formée (j’ai encore les muscles des bras qui tirent !). Aux Bahamas on ne peut pas passer où l’on veut, il y a des cailloux partout et peu de fond (ce qui en fait aussi le charme), il faut suivre des passes dans lesquelles le courant peut être assez fort… Lorsque nous approchons de Little Exuma nous sommes soulagés. Il y a 80 centimètre d’eau sous la quille du bateau, nous avançons dans une eau d’un bleu laiteux indicible et un dauphin passe à côté de Maskali, comme pour nous souhaiter la bienvenue ! A Hog Cay nous sommes absolument seuls et côté terre, c’est également désert : juste deux maisons qui semblent fermées et une piste d’atterrissage pour petits coucous. Sous l’eau, pas grand-chose à voir ici : du sable et des trous de crabes, c’est tout ! Une escale de repos bien méritée, et une escale technique également : Seb réussit à réparer le pilote (il avait la pièce de rechange), ainsi que le dessalinisateur qui lui non plus ne daignait plus fonctionner. Nous en profitons également pour faire du rangement à bord, il y en avait grand besoin !

Il nous manquait le drapeau des Bahamas, alors Eléa le dessine aux feutres !
Il nous manquait le drapeau des Bahamas, alors Eléa le dessine aux feutres !
Hog cay Bahamas
Hog Cay, c’est désert !
Hog cay Bahamas
Du bleu à perte de vue.
8 au 11 avril : vers les îles Turks & Caicos

8 au 11 avril : vers les îles Turks & Caicos

Voile

Nous quittons à regret la République dominicaine, mais le temps passe vite et nous avons encore 210 milles à parcourir pour notre prochaine destination, les îles Turks et Caicos. Après avoir quitté la baie de Samana, Sébastien voit une baleine ! Nous braquons tous nos yeux vers elle et observons son souffle puis trois jolis sauts ! Quelle joie, j’ai enfin vu ma première baleine ! Quelques heures après nous pêchons une dorade coryphène, aussi belle que la première, peut-être même un peu plus grande ! Cette fois-ci, je réussis à la harponner du 2e coup, mais toujours en tremblant… La première nuit, tout va bien, mais la nuit suivante, le temps change : il y a des grains à répétition et nous sommes cernés par les orages. Alors que nous approchons des Turks, nous sommes obligés de faire demi-tour et nous tournons en rond pendant plusieurs heures pour échapper aux orages. Au petit matin, vers 6 h, un grain plus violent que les autres nous oblige à affaler toutes les voiles en vitesse (nous avons peur de les déchirer) : en 2 minutes à peine, l’anémomètre passe de 20 nœuds à 35 nœuds de vent, et le bateau file à 13 nœuds en fuite, ce qui fait 48 nœuds de vent réel ! Nous nous mettons à la cape sèche et attendons que cela passe… Maskali est comme un bouchon qui flotte sur l’eau. Ça gite, ça tangue, et je commence à avoir le mal de mer. Vers 9 h le vent baisse et nous pouvons repartir, mais il nous reste encore beaucoup de milles à parcourir. Je rêvais d’arriver au petit matin sur Big Sand Cays, devant une plage déserte entourée d’eau turquoise (comme Catherine et Fred sur Tipaco il y a 9 ans), c’est loupé… Le vent n’est pas favorable et nous devons aller vers une autre île. Nous arrivons finalement vers 17 h à South Caicos. L’eau est limpide et turquoise, mais pas de plage, et à terre les abords de la marina ne sont pas terribles. Je suis déçue, mais au moins le mouillage est abrité. Nous sommes exténués par cette nuit agitée. Après une bonne nuit de sommeil, j’apprécie quand même ce mouillage tranquille aux eaux cristallines. La matinée est consacrée aux cours, et l’après-midi à la baignade. Les fonds sous-marins recèlent des trésors : quelques coraux, gorgones et poissons, des lambis, mais surtout quantité de tests d’oursins dollars ! Nous passons des heures à plonger et notre collection s’agrandit considérablement !

Notre première baleine !
Notre première baleine !
Encore une belle coryphène !
Encore une belle coryphène !
Turks&Caicos
Mouillage à South Caicos dans 2 mètres d’eau.
Turks&Caicos
Pêche miraculeuse pour Eléa !
Turks&Caicos
Les test d’oursins dollars, si fragiles !
6 et 7 avril : le Parc national de Los Haïtises

6 et 7 avril : le Parc national de Los Haïtises

Loisirs

Nous passons deux jours extraordinaires dans le Parc national de Los Haïtises, au sud de la péninsule de Samana. Ce parc est un dédale de dômes calcaires recouverts de végétation où nichent des oiseaux (frégates, pélicans, aigrettes…) et nous naviguons dans à peine 2 mètres d’eau (parfois même 1 mètre, heureusement que l’Ovni a un faible tirant d’eau !) en serpentant entre ces îlots. Le paysage a des airs de la baie d’Halong (du moins l’idée que je m’en fais !). Nous sommes tout seuls (rejoints un peu plus tard par Tuva’u) et jetons l’ancre près de grottes autrefois fréquentées par les indiens Taïnos, premiers habitants de l’île. « Haïti » signifie « zone montagneuse » en langue taïno. Nous partons en annexe à travers la mangrove pour visiter une première grotte, la Cueva de la Linea, et admirer les peintures rupestres que les Taïnos ont laissées. Tels des explorateurs, nous éclairons les murs de la grotte avec notre lampe torche et observons avec émotion ces pictogrammes naïfs. Pour la deuxième grotte, la cueva de la Arena, c’est le ranger du parc qui nous guide : quelques peintures rupestres encore, mais aussi des gravures dans la pierre et beaucoup de chauve-souris. Maëlle voulait en voir, elle n’est pas déçue ! Ces grottes faites de stalactites sont splendides et il est facile d’imaginer que les indiens Taïnos venaient s’y recueillir ou pratiquer des rites. Ces grottes en bordure de parc en cachent des centaines d’autres, impénétrables. Daniel, je repense aux Secrets d’Escondida et j’ai l’impression d’être dans le paysage de ton roman : t’es-tu inspiré de cet endroit ? Après une nuit paisible, nous sommes réveillés par le chant des oiseaux. La mer est toute plate, d’un calme absolu ; quel sentiment de plénitude face à cette nature vierge ! On aimerait se baigner mais il y a des centaines de méduses… elles sont peut-être inoffensives, mais dans le doute, nous préférons nous abstenir. Nous partons en annexe découvrir le Cano Hondo : il faut environ 25 minutes à travers la mangrove, les oiseaux s’envolent sur notre passage, c’est féérique. Puis une petite promenade à pieds le long d’une rizière et de plantation de caféiers nous mène à un complexe hôtelier parfaitement intégré dans la nature. Le « paradiso de Cano Hondo » est fait de blocs de pierres empilées et entouré de petites piscines d’eau douce aménagées en cascades sur un cours d’eau, au milieu d’une végétation luxuriante. Un véritable bain de jouvence !Los Haïtises Los Haïtises

Los Haïtises
Des îlots partout !
Les peintures rupestres Taïno.
Les peintures rupestres Taïno.

LosHaitises_07

Los Haïtises
Cette aigrette a tenté de monter sur le bateau !
Visages sculptés dans la pierre.
Visages sculptés dans la pierre.
Certains blocs sont pas loin de se détacher...
Certains blocs sont pas loin de se détacher…
Los Haïtises
Les cascades de Cano Hondo.
Changement de paysage : une rizière.
Changement de paysage : une rizière.
Jeu de miroir.
Jeu de miroir.
Ballade dans la mangrove.
Ballade dans la mangrove.
Des centaines de chauve-souris nichent ici !
Des centaines de chauve-souris nichent ici !
Los Haïtises
Le resto surplombant les piscines.
Los Haïtises
Un spa naturel !
Direction la cascade !
Direction la cascade !
5 avril : la péninsule de Samana et Las Terrenas

5 avril : la péninsule de Samana et Las Terrenas

Loisirs, Voyage

Nous sommes à la Marina Puerto de Bahia et profitons du confort de ce complexe hôtelier très chic avec une belle piscine. Nous y retrouvons deux bateaux-copains : Tuva’u et Ourialys. Nous louons une voiture une journée pour aller de l’autre côté de la péninsule de Samana, à Las Terrenas. Sur la route, nous sommes sous le charme des paysages qui s’offrent à nous : des vallées verdoyantes, des centaines de cocotiers, des villages aux maisons colorées, des ranchs avec des chevaux… La plupart des dominicains roulent en deux roues, à trois sur la même monture, et sans casque. On entend de la musique à fond à tous les coins de rue et il n’est pas rare de voir des gens se mettre à danser ! J’avais une image préconçue de la République dominicaine, classée dans les îles sans grand intérêt dédiées au tourisme de masse… quelle erreur ! En dehors des grands hôtels, il règne une atmosphère particulière qui rend cette île très vite attachante. Les gens ont toujours le sourire et ont à cœur de nous faire découvrir les beautés de leur île. Les grandes plages de Las Terrenas sont superbes. La République dominicaine est vraiment grande comparée aux confettis des BVI que nous venons de quitter, et nous regrettons de ne pas avoir plus de temps pour découvrir cette île plus en profondeur.

République dominicaine
Barques à Las Terrenas.
République dominicaine
Une plage de carte postale.
République dominicaine
Encore des barques…
République dominicaine
Ce petit garçon me fait penser à Maëlle !
République dominicaine
Peintures naïves de style haïtien.
République dominicaine
Les maisons défilent… toutes mes photos prises depuis la voiture sont floues.
République dominicaine
La belle Marina Puerto de Bahia. On voit Maskali au fond à gauche.
République dominicaine
Un dernier plouf à la piscine au soleil couchant.

République dominicaine

2 au 4 avril : traversée des BVI à la République dominicaine

2 au 4 avril : traversée des BVI à la République dominicaine

Voile

C’est parti pour deux jours et deux nuits de navigation ! Les distances entre les îles s’allongent maintenant, cela faisait longtemps que nous n’avions plus navigué de nuit. Mais on retrouve vite nos habitudes ! Quelques heures après notre départ, ça mord, et c’est du lourd : un mahi-mahi ou daurade coryphène ! Ce poisson a une forme vraiment caractéristique avec son front bombé et sa longue nageoire dorsale, et surtout, il arbore des couleurs magnifiques sous l’eau : turquoise flashy et jaune d’or. Sébastien le tient en bout de ligne le long du bateau, tandis que je dois le harponner avec un crochet pour le remonter à bord. Je déteste ce rôle de bourreau, même si j’ai bien envie de la manger, cette daurade ! Elle est splendide et se débat fièrement. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois, et plus Seb crie : «Vite, on va la perdre ! Tu croches et tu tires, c’est pas compliqué ! », plus je tremble ! Mais on finit par y arriver… Le spécimen mesure un bon mètre, c’est notre plus belle prise depuis que nous naviguons. Poséidon a fait un beau cadeau à Seb pour son anniversaire ! Les filles sont surexcitées et salivent déjà en pensant aux sushis ! J’ai le souvenir, enfant, d’avoir été moi-même éblouie par ce poisson pêché par mon père aux Antilles. Mais en quelques minutes, il perd ses jolies couleurs. C’est à Seb que revient la lourde tâche de le vider et le préparer : cinq grosses darnes et le reste en filets. De quoi faire plusieurs repas ! Pour le dîner nous préparons, comme à notre habitude, des sushis et makis. J’essaye également une recette de tartare à la mangue, délicieux ! Le lendemain, je fais cuire les darnes à la sauteuse avec des oignons et des tomates, accompagnées de coquillettes. Les derniers filets seront cuits au four à notre arrivée ! Après cette belle prise, nous rangeons les cannes à pêche car nous ne pourrions pas conserver plus de poisson dans le frigo. La traversée se passe bien, avec pas mal de moteur car il y a peu de vent. Lorsque nous arrivons dans la presqu’île de Samana, je scrute pour tenter d’apercevoir des baleines. En effet, cette baie est connue pour être le lieu de reproduction des baleines à bosse, de fin décembre à fin mars. Y aurait-il quelques retardataires ? Mais non, elles sont déjà reparties… Il y a tout de même trois dauphins qui viennent nous saluer, mais ils repartent assez vite. Je regrette vraiment d’avoir manqué une si belle occasion de voir des baleines (je n’avais pas lu le guide avant et j’ai découvert cette information juste avant la traversée), mais ça sera une excellente raison de revenir en République dominicaine !

mahi-mahi
Un mahi-mahi a mordu !
mahi-mahi
Dans le feu de l’action je n’ai pas pu prendre de photo, alors voici à quoi ça ressemble !
mahi-mahi
Une fois hors de l’eau, il perd très vite ses couleurs chatoyantes.
Seb souffle ses bougies au large de Puerto Rico.
Seb souffle ses bougies au large de Puerto Rico.
Maëlle au pays des rêves bleus...
Maëlle au pays des rêves bleus…
Arrivée en République dominicaine, dans la péninsule de Samana.
Arrivée en République dominicaine, dans la péninsule de Samana.
1er  avril – Jost Van Dyke

1er avril – Jost Van Dyke

Loisirs

Cette île doit son nom à un corsaire hollandais, Joost van Dyk. C’est notre dernière escale aux BVI, avant d’aller en République dominicaine. Nous retrouvons l’équipage d’Ourialys au mouillage et les enfants jouent ensemble à la plage.

Jost Van Dyke
3, 2, 1… sautez !
Jost Van Dyke
Un club de plongée haut en couleurs !
Scoop : deux sirènes aperçues sur un rocher !

Scoop : deux sirènes aperçues sur un rocher !

Loisirs

La transformation a eu lieu ce matin au lever du soleil : une queue de poisson a commencé à pousser sur Maëlle, tandis que mon corps s’est couvert d’écailles scintillantes. Maëlle est encore toute étonnée de sa nouvelle apparence, mais pas peu fière ! Je suppose que l’on doit cette métamorphose aux longues heures passées dans l’eau : une simple adaptation à notre nouvel environnement. Sirène ! Qui n’en n’a pas rêvé un jour ? Sébastien se demande si cette transformation est irréversible ou passagère… Je vous tiendrai au courant !